Elle coupa le moteur de sa voiture, et me suivit dans l’appartement. Après lui avoir servi un verre, nous nous retrouvâmes assis l’un près de l’autre sur le canapé. Nos attouchements dans la voiture étaient déjà loin, même si j’avais toujours présent à l’esprit ses seins que j’avais caressés au travers de son chemisier.
Nous parlions de choses et d’autres. Ces moments sont les plus excitants dans une relation. Le moment précis ou les choses vont basculer, ou deux connaissances vont devenir deux amants. Je ne savais comment engager la conversation sur le thème du sexe, et Carla devait être dans la même situation que moi. Nous avions envie l’un de l’autre, mais nous avions encore du chemin à faire pour découvrir notre intimité. J’attendais avec impatience que Carla ouvre une porte, prenne une initiative et me donne implicitement son autorisation pour la toucher.
L’opportunité
attendue arrivant quand Carla me dit qu’elle avait passé du temps à faire les boutiques de vêtement durant la semaine.
Je
lui demandai :« Qu'as tu acheté ? ».
Elle répondit :« de la lingerie, j’ai trouvé de la très belle lingerie dans
une petite boutique du centre ville ».
Je sentais que je devais saisir cette occasion. J’enchaînai : « quelle couleur ? ».
« Blanc et
rouge » dit elle.
« tu la portes sur toi ? » lui demandais-je, en baisant ouvertement mon regard sur sa poitrine.
Elle sourit et me répondit : « Oui, tu veux voir….. ? »
Je fis un signe de la tête.
Mon cœur s’accéléra. En quelques phrases, je savais que nous allions reprendre nos caresses. Elle déboutonna son chemisier et offrit à mon regard sa belle
poitrine enveloppée dans une lingerie en dentelle blanche et rouge.
Elle venait de prendre l’initiative, et je devais poursuivre, la balle était dans mon camp.
Ces instants de frivolité sont bien plus excitants que l’acte en
lui-même.
« C’est très joli, ca a l’air très doux ? » lui dis-je.
Elle fit oui de la tête, sans dire un mot.
Je me lançais : « Je peux toucher ? ». Mon excitation était mêlée de crainte, celle qu’elle me dise
non.
Elle me sourit, respira calmement et répondit « oui ».
Je déposai le bout de mes doigts sur le haut du balconnet de son soutient
gorge. Sous mes doigts, la douceur de la dentelle était très agréable. Lentement, toujours du bout des doigts, je fis glisser ma main vers son téton. Il devenait de plus en plus dur, pointant
maintenant à travers la fine dentelle blanche.
Je lui caressais les seins à pleines mains. Elle déboutonna complètement son chemisier, le retira ainsi que son soutient gorge. Elle était torse nu assise sur le
canapé. Ses seins étaient lourds, 105 D je crois. Ils tombaient légèrement, mais pour une femme de presque 50 ans, ils étaient encore très beau. Résultat d’années d’effort passés en salle de
sport.
Je tirai à nouveau sur mon jean, qui me serrait trop fort. Mon sexe était en érection. Carla compris ma
situation, et en profita pour déboutonner mon jean et le descendre suffisamment pour libérer complètement mon sexe. Quand elle vit ma verge, longue et épaisse, elle fut surprise. Je m’avais que
très récemment pris conscience de la taille important de mon sexe. Il faut dire que je n’avais pas vu beaucoup de verges d’homme en érection dans ma vie. Je me souviens d’une aventure avec une
jeune femme, qui visiblement avait une certaine expérience en la matière. En voyant mon sexe, elle m’avait avoué de pas en avoir vu souvent de cette taille et que j’avais un sexe 30% plus gros
que la moyenne. Elle avait juste oublié de me préciser en quoi consistait la moyenne. J’ai retenu le chiffre, et oublié le prénom de la fille.
Alors que Carla me masturbait doucement, faisant glisser la peau de ma verge sur mon gland, je continuais à lui caresser les seins avec assiduité. Ses mains, longues et fines, étaient terminées par des ongles rouges vifs assez longs. J’étais impressionné et excité de voir ces ongles si tranchant jouer avec autant de dextérité sur mon gland. L’excitation devenant de plus en plus forte, je lui pris la main et l'arrêta. Elle compris que j’étais près à me délivrer. Elle me tira doucement vers elle. Je me mis à califourchon sur elle. Mon sexe se plaça naturellement entre ses seins. Elle les prit entre ses mains et me masturba. Je continuais à faire glisser mon sexe entre ses seins, le faisant remonter de plus en plus haut, espérant que Carla le prenne dans sa bouche. Elle n’en fit rien, mais l’excitation que cela me procura me fit éjaculer. Mon sperme rendu liquide par nos jeux coula entre ses seins le long de son ventre. Elle se leva et partit dans la salle de bain, emportant avec elle son soutient gorge et son chemisier. Je remis mon pantalon dans sa position d’origine et m’allongeai quelques instants sur le canapé pour profiter égoïstement du plaisir que je venais d’avoir.
Quand Carla sortit de la salle de bain, il devait être 2 h du matin.
« Je dois rentrer maintenant, il est tard » me dit-elle. Elle s’approcha de moi et me fit la bise. Elle reprenait par ce geste son rôle de femme mariée et remettait entre nous la
distance qui s’impose entre deux personnes du sexe opposé.
En fermant la porte derrière elle, je me suis rendu compte que je venais de jouir entre ses seins, alors que je ne l’avais même pas
embrassée.