Carla - partie 2

Quelques semaines plus tard, le groupe se retrouva un vendredi après l'entraînement dans un club disco d'une ville voisine. Comme souvent dans ce type de sport, 3 hommes étaient présents pour une douzaine de femme. Il faut dire que les femmes mariées participaient régulièrement à ce type de soirée. Les célibataires aussi.
Carla était présente, bien qu'elle avait déclaré ne pas pouvoir rester trop tard et souhaitait rentrer vers 1 h du matin. N'étant ni danseur ni féru de musique disco, en général je m'arrange toujours pour rentrer tôt. Ce soir là, je n'avais pas pris ma voiture, afin de pouvoir consommer de l'alcool.
Je discutais souvent après l'entrainement avec Carla, et je pense que personne ne pouvait y voir un quelconque signe, vu notre différence d'âge. Pour cette soirée, j'avais comme à mon habitude signalé que je souhaitais rentrer tôt, et je pense que Carla l'avait bien compris. Une sorte d'accord tacite nous unissait déjà.
La soirée était arrosée et joyeuse. J'étais assis à coté de Carla quand je sentis sa main sous la table basse venir me pincer doucement les mollets. Sans me regarder, elle s'amusait en toute discrétion à me taquiner. A partir de cet instant, je savais que je serai son amant.
Un peu après minuit, Carla se leva pour partir. Je ne dis rien pour ne pas attirer les doutes, mais plusieurs personnes me rappelèrent que je devais en profiter pour me faire déposer chez moi. Mon chauffeur habituel n'avait visiblement pas l'envie de rentrer avant l'aube.....
Dans la voiture, Carla ne dit rien, elle conduisait calmement en regardant la route. Sans rien dire, je lui pinçai doucement le mollet. Elle sourit et me dit: "comment trouves tu mes bas, ils sont très doux". Elle rajouta "si tu veux, tu peux remonter ta main, et me caresser les cuisses".
Ma main remonta doucement le long de sa jupe, ses cuisses étaient chaudes. Mon sexe était déjà très dur et j’avais mal dans mon jean trop serré. Carla continua de regarder la route, mais je devinais un léger sourire s'afficher sur son visage.
Ma main continua doucement de remonter entre ses jambes, après avoir passé les bas, à la hauteur ou les porte-jarretelles viennent s'accrocher à ces derniers, ma main sentit la douceur de sa peau. Elle était chaude et lisse. C'était la première fois que je touchais la peau de Carla. Elle écarta doucement les cuisses. Quand ma main arriva sur la dentelle de son string, elle me dit non, qu'elle avait ses règles. Je n’insistais pas.
"Je peux te caresser les seins ?" Elle me dit oui avec un grand sourire, sans quitter la route des yeux. La voiture avançait lentement, les camions nous doublaient sur l'autoroute.
Je n'ai pas pu profiter pleinement de ses magnifiques seins, mais mon érection devient de plus en plus forte et cela me fit très mal au sexe. Je tentais, en vais, de tirer sur mon jean pour soulager la douleur, Carla mis sa main sur l'ouverture de mon jean, le déboutonna et se mis à me caresser le sexe. La voiture avançait chaotiquement sur la bande de gauche.
Rarement, j'eu le sexe aussi dur. J'avais le sentiment que le plaisir de Carla à me caresser était plus fort encore que le mien.
Nous sommes arrivés à mon appartement vers 1h du  matin.


Elle coupa le moteur de sa voiture, et me suivit dans l’appartement. Après lui avoir servi un verre, nous nous retrouvâmes assis l’un près de l’autre sur le canapé. Nos attouchements dans la voiture étaient déjà loin, même si j’avais toujours présent à l’esprit ses seins que j’avais caressés au travers de son chemisier.

Nous parlions de choses et d’autres. Ces moments sont les plus excitants dans une relation. Le moment précis ou les choses vont basculer, ou deux connaissances vont devenir deux amants. Je ne savais comment engager la conversation sur le thème du sexe, et Carla devait être dans la même situation que moi. Nous avions envie l’un de l’autre, mais nous avions encore du chemin à faire pour découvrir notre intimité. J’attendais avec impatience que Carla ouvre une porte, prenne une initiative et me donne implicitement son autorisation pour la toucher.

L’opportunité attendue arrivant quand Carla me dit qu’elle avait passé du temps à faire les boutiques de vêtement durant la semaine.
Je lui demandai :« Qu'as tu acheté ? ».
Elle répondit :« de la lingerie, j’ai trouvé de la très belle lingerie dans une petite boutique du centre ville ».
Je sentais que je devais saisir cette occasion. J’enchaînai : « quelle couleur ? ».
« Blanc et rouge » dit elle.
« tu la portes sur toi ? » lui demandais-je, en baisant ouvertement mon regard sur sa poitrine.
Elle sourit et me répondit :  « Oui, tu veux voir….. ? »
Je fis un signe de la tête.
Mon cœur s’accéléra. En quelques phrases, je savais que nous allions reprendre nos caresses.  Elle déboutonna son chemisier et offrit à mon regard sa belle poitrine enveloppée dans une lingerie en dentelle blanche et rouge.
Elle venait de prendre l’initiative, et je devais poursuivre, la balle était dans mon camp.
Ces instants de frivolité sont bien plus excitants que l’acte en lui-même.
« C’est très joli, ca a l’air très doux ? » lui dis-je.
Elle fit oui de la tête, sans dire un mot.
Je me lançais : « Je peux toucher ? ». Mon excitation était mêlée de crainte, celle qu’elle me dise non.
Elle me sourit, respira calmement et répondit « oui ».

Je déposai le bout de mes doigts sur le haut du balconnet de son soutient gorge. Sous mes doigts, la douceur de la dentelle était très agréable. Lentement, toujours du bout des doigts, je fis glisser ma main vers son téton. Il devenait de plus en plus dur, pointant maintenant à travers la fine dentelle blanche.
Je lui caressais les seins à pleines mains. Elle déboutonna complètement son chemisier, le retira ainsi que son soutient gorge. Elle était torse nu assise sur le canapé. Ses seins étaient lourds, 105 D je crois. Ils tombaient légèrement, mais pour une femme de presque 50 ans, ils étaient encore très beau. Résultat d’années d’effort passés en salle de sport.

Je tirai à nouveau sur mon jean, qui me serrait trop fort. Mon sexe était en érection. Carla compris ma situation, et en profita pour déboutonner mon jean et le descendre suffisamment pour libérer complètement mon sexe. Quand elle vit ma verge, longue et épaisse, elle fut surprise. Je m’avais que très récemment pris conscience de la taille important de mon sexe. Il faut dire que je n’avais pas vu beaucoup de verges d’homme en érection dans ma vie. Je me souviens d’une aventure avec une jeune femme, qui visiblement avait une certaine expérience en la matière. En voyant mon sexe, elle m’avait avoué de pas en avoir vu souvent de cette taille et que j’avais un sexe 30% plus gros que la moyenne. Elle avait juste oublié de me préciser en quoi consistait la moyenne. J’ai retenu le chiffre, et oublié le prénom de la fille.

Alors que Carla me masturbait doucement, faisant glisser la peau de ma verge sur mon gland, je continuais à lui caresser les seins avec assiduité. Ses mains, longues et fines, étaient terminées par des ongles rouges vifs assez longs. J’étais impressionné et excité de voir ces ongles si tranchant jouer avec autant de dextérité sur mon gland. L’excitation devenant de plus en plus forte, je lui pris la main et l'arrêta. Elle compris que j’étais près à me délivrer. Elle me tira doucement vers elle. Je me mis à califourchon sur elle. Mon sexe se plaça naturellement entre ses seins. Elle les prit entre ses mains et me masturba. Je continuais à faire glisser mon sexe entre ses seins, le faisant remonter de plus en plus haut, espérant que Carla le prenne dans sa bouche. Elle n’en fit rien, mais l’excitation que cela me procura me fit éjaculer. Mon sperme rendu liquide par nos jeux coula entre ses seins  le long de son ventre. Elle se leva et partit dans la salle de bain, emportant avec elle son soutient gorge et son chemisier. Je remis mon pantalon dans sa position d’origine et m’allongeai quelques instants sur le canapé pour profiter égoïstement du plaisir que je venais d’avoir.

Quand Carla sortit de la salle de bain, il devait être 2 h du matin. « Je dois rentrer maintenant, il est tard » me dit-elle. Elle s’approcha de moi et me fit la bise. Elle reprenait par ce geste son rôle de femme mariée et remettait entre nous la distance qui s’impose entre deux personnes du sexe opposé.
En fermant la porte derrière elle, je me suis rendu compte que je venais de jouir entre ses seins, alors que je ne l’avais même pas embrassée.


 
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