Liliane me téléphona vers 19h. C'était une belle soirée d'été. J'avais fait la rencontre de Liliane quelques jours plus tôt, chez elle. Nous avions un ami en commun, et je ne sais plus la raison de cette visite dans sa maison. Je me souviens juste que son mari n'était pas présent, retenu par ces affaires. Un autre couple regardait la télévision avec Liliane quand nous sommes arrivés. La soirée se passa à regarder des photos de vacances, avec des commentaires frivoles chaque fois qu'une photo montrait Liliane en maillot de bain. Elle aimait rire, et chacun profita de la soirée pour s'amuser. Avant de partir, elle me montra sa superbe décapotable rouge garée dans le garage. Liliane avait 44 ans, et pour le jeune célibataire que j'étais, je fantasmais autant devant la voiture que devant sa propriétaire. Elle m'invita à m'assoir au volant, et me demanda ce que je pensais du cuir des sièges. Elle s'amusait avec moi, toujours en riant.
Je lui dis que j'aimerai bien un jour avoir une voiture identique car c'était l'outil indispensable pour attirer les jolies femmes. Liliane s'éclaffa, et me répondit: " moi, j'attire les jeunes hommes avec...". Elle avait compris à mon regard que j'aimais les femmes plus âgées que moi. Aujourd'hui encore, même si il m'arrive de fantasmer sur une jeune femme, je regarde de préférence les femmes plus âgées.
Après 3 sonneries, je décrochais.
« Bonsoir, c'est Liliane. »
« Bonsoir, comment vas tu? »

« Bien, je suis près de chez toi, j'avais une course à faire en ville. François m'a donné ton numéro, cela ne te dérange pas que je t'appelle ? »
« Heu, non »,  J'étais un peu gêné et surpris de cette approche, mais connaissant Liliane et son tempérament joueur, je ne pouvais qu'être flatté.
« Tu veux passer prendre un verre, je viens d'emménager depuis quelques semaines, c'est un peu le bordel, mais je devrais trouver quelque chose à boire ».
« Ok, j'arrive ».
5 mn plus tard, je fis visiter l'appartement à Liliane. Nous avions chacun un verre de martini à la  main, je n'avais plus rien d'autre à boire, mais cela ne dérangea pas mon invité.
La visite continua. Arrivé devant la porte de la chambre, l'air grave, je pris la parole :

"J'aimerai bien te faire visiter ma chambre, mais encore aucune femme n'a franchit le seuil de cette porte. Es tu sûre de vouloir être la première ?"
Liliane m’envoya un sourire coquin, en plissant les yeux : "Si tu veux, je te prête ma voiture pour faire un tour, et en échange, tu me fais visiter ta chambre ".
"En route !" lui répondis-je.
Nous roulions à faible allure en ville. A chaque feu rouge, j'en profitais pour regarder le joli décolleté de ma co-voitureuse. Elle portait une robe moulante malgré ses rondeurs naissantes.
"Regarde la route, le feu est vert" me dit elle en riant.
« OUI.....mais j'ai beaucoup de difficulté à me concentrer ».
« Ha oui…. c'est moi qui te perturbe ou mon décolleté ?». Liliane souriait de m'avoir surpris en train de mater...
« Je crois que c'est ton décolleté ! ».
« Si tu veux, je peux te montrer, mais tu regardes la route ! »....elle aimait me taquiner, et  j'aimai cela.
Elle écarta le décolleté de sa robe, elle ne portait pas de soutient gorges.
J'étais fier comme un coq, au volant d'un superbe cabriolet allemand, avec une femme ayant les seins à l'air. Nous étions tous les deux très excités, et je crois que l'un entrainait l'autre. Je sortis rapidement de la ville pour m'aventurer dans une petite route de campagne.
J'avais une érection, et Liliane ne manquant pas de le remarquer dans mon jean moulant.
Elle s'approcha de moi et me glissa à l'oreille "à toi maintenant de mettre quelque chose à l'aire". Elle riait de tout son cœur, et moi aussi. Elle me déboutonna le pantalon.
Voila le scénario improbable que je n'aurais même pas pu imaginer une demi-heure plus tôt.
J'étais au volant d'un cabriolet, le sexe en érection à l'air libre. Ma partenaire de jeu quand à elle,  avait les seins dénudés.
Chaque fois que je prenais un virage, le volant venait frotter contre mon gland, et cela augmentait encore plus mon excitation.
Je fis une halte dans un petit chemin tranquille. Liliane avait pris mon sexe dur dans sa main. Nous nous embrassions. Je fis glisser ma main sur ses petits seins, puis sur sa cuisse. Elle serra les jambes, retira sa langue de ma bouche et me dit "maintenant que tu as fait un tour en décapotable, j'ai le droit de voir ta chambre".
Rapidement je repris le chemin du retour en direction de l'appartement. Je me souviens d’avoir fait deux fois l’amour avec elle ce soir d’été.