Je suis arrivé vers 19 h, presque en retard. J'avais rencontré Marjorie il y a
quelques années. Nous étions en contact occasionnellement par l'intermédiaire de notre activité professionnelle. Ce soir là, je ne sais plus la raison qui me poussa à me rendre chez elle. Il
y avait une fête dans sa petite ville.
Plantureuse, de grosses fesses, des seins généreux, Marjorie n'était pas ce que l'on appelle une gravure de mode. Pourtant, blonde aux yeux clairs, elle avait ce charme qui plait aux hommes. Ils
devaient être nombreux à se presser à sa porte.
Nous étions à la fête, et après quelques bières, elle me ramena chez elle. Elle m'avait conseillé de ne pas prendre la voiture pour rentrer chez moi, et comme j'avais bu un peu trop, ce conseil
me sembla judicieux.
Son appartement était au 3ème étage, elle me précéda dans l'escalier, ce qui me permit d'admirer ses belles fesses bien rondes fermement moulées dans un jean trop petit pour sa corpulence. Arrivé
dans l'appartement, elle m'indiqua sa chambre, et me dit : "allonge toi, j'arrive dans 2 minutes".
Je l'embrassais longuement, en lui caressant du bout des doigts l’extrémité des seins. Je ne sais pourquoi, mais il m'est impossible d'embrasser une femme sans frôler doucement ses seins de ma
main. C'est un tout indissociable de ma conception du baisser. Je sentis son corps glisser patiemment sous le mien, et mon sexe en érection cherchait déjà le chemin de l'extase. Elle chercha de
sa main quelque chose dans sa table de chevet, puis me tendit un préservatif: "je ne prends plus la pilule depuis mon divorce".
Après avoir enfilé le préservatif, je repris le chemin de son sexe, généreusement ouvert et humide. Je ne sais pourquoi, peut être l'alcool, mais après de longues minutes, je ne réussis pas à
éjaculer. De plus, une odeur de caoutchouc brulé nous laissa un gout amer. Elle se retourna et je m'endormis contre elle.
Quelques brèves heures plus tard, le soleil devait déjà être au zénith, Marjorie se leva et après un bruit lointain de chasse d'eau, revient se blottir dos contre moi. Comme toujours le matin, et
encore plus les matins de gueule de bois, j'avais le sexe en érection. Je le glissais fermement entre les jambes serrées de Marjorie, mais elle remua pour me chasser. Mon sexe se réfugia entre ses fesses. Elle ne dit rien, et bougea doucement sa croupe pour me masser le gland entre ses fesses. Elle
voulait m'offrir son petit trou, et le fait de savoir qu'elle avait envie que je jouisse dans son cul multiplia mon excitation. Mon gland continua à chercher l'ouverture entre ses fesses. Je
portais ma main à ma bouche, pris de la salive et humidifiais mon gland pour faciliter le passage. L'excitation était à son paroxysme. Soudainement, je sentis l'éjaculation proche, il était trop
tard, je ne pouvais plus maitriser la situation.
D'un ton surpris, je lui dis "Je vais éjaculer».
"Ha non " répondit elle calmement. Je perçu dans sa voix une déception. Celle de ne pas avoir été sodomisée. Je jouie entre ses fesses, et malgré ma propre déception, je pris énormément
de plaisir. Mon sperme était brulant. Elle patienta quelques minutes, le temps pour moi de finir mon orgasme, se leva et partit se doucher.
A son retour, sa peau était fraiche et encore légèrement humide. Elle m’enveloppa dans ses bras, et plaça ses seins à hauteur de mon visage. Je pris son téton le plus accessible dans ma
bouche pour le lécher doucement avec ma langue. Elle soupira.